vendredi 22 octobre 2010

La possibilité d'une trilogie chez Yves Viollier ...

Plusieurs lectrices et lecteurs d'Yves Viollier, surtout les anciens ceux qui connaissent Yves depuis le début m'ont posé la question. Est qu'il y avait une première partie de Délivre moi, cette Sétima me rappelle quelqu'un que j'ai croisé dans un des livres de "Monsieur Yves".



Effectivement, on pourrait le penser  ! Setima on l'a rencontrée la première fois dans "LA CHASSE AUX LOUPS" livre paru en 1985.  Ce livre a été longtemps considéré comme introuvable, épuisé. Mais l'obstination d'une maison d'édition a réussit l'impensable. Ce livre est réédité aux éditions Libra Diffusion. Maison d'édition spécialisée en l'édition de  livres en gros caractères.  Mais qui enchanteront les accros à la littérature Viollierienne. Je vous invite à visiter le site de cette maison d'édition.




Puis, on retrouve Sétima dans ce que l'on peut dire désormais le second tome "LE GRAND CORTEGE" paru en 1986 encore disponible aux éditions Flammarion. Vous pouvez l'avoir via la Fnac.com et aussi via votre libraire habituel. Ce livre décrit bien le début de la Virée de Galerne et le destin de Setima...

Yves Viollier aime dire que ces deux livres se suivent mais peuvent se lire indépendamment. Comme "La Flèche Rouge" et "La Route de Glace".  Mais c'est tellement mieux de les lire à la suite. 

La présence du personnage de Setima dans "Delivre moi" peut légitiment faire penser à l'épilogue d'une trilogie, la boucle étant bouclée...  Même si Yves Viollier s'en défend.  Cela a été le sujet de discussion au Mans.

Mon conseil : Si l'histoire de "Delivre moi" vous a passionné (surtout les passages évoquant Setima) je ne peux que conseiller de foncer vous procurer les deux premiers romans. Vous aurez des détails un peu plus approfondis sur cette virée de Galerne, les colonnes infernales qui ont dévasté, entre autres, Château Fromage. 

Et vous ne serez pas près d'oublier Sétima de sitôt... "Delivre moi Setima"....

LA MONTAGNE

Un article sur "Delivre moi" d'Yves Viollier ... Capture d'écran de l'article ce jour...



Cliquez sur l'image pour aggrandir...

mardi 12 octobre 2010

EVOCATION DU DERNIER LIVRE D'YVES VIOLLIER SUR FRANCE INFO



http://www.france-info.com/chroniques-le-livre-du-jour-2010-10-11-delivre-moi-d-yves-viollier-490501-36-39.html

L'interview d'Yves Viollier de Bernard Clavel

Toujours issu du Site "La Vie". Yves Viollier avait interviewé son ami en 1991... Souvenirs....

Interview du 11/07/91
Bernard Clavel : une plume à tous vents

Yves Viollier - publié le 11/10/2010

Il est incontestablement le chef de file d'une vraie littérature populaire. A soixante-huit ans, Bernard Clavel poursuit tranquillement une oeuvre qui ne comprends pas moins de soixante-dix ouvrages. De livre en livre, cet éternel errant nous a promenés de son Jura natal à Lyon et jusqu'au Grand Nord québécois, où il avait pour un temps posé son sac. Le voilà de retour dans le pays de son enfance avec son dernier roman, « Meurtre sur le Grandvaux », récemment paru aux éditions Albin Michel.




Pour rendre hommage à Bernard Clavel, mort à l'âge de 87 ans le 5 octobre dernier, La Vie a plongé dans ses archives pour ressortir cette interview réalisée par Yves Viollier, parue dans notre magazine le 11 juillet 1991...

Il semble le calme fait homme et pourtant....il n'arrête pas de voyager et de faire ses bagages. Il vient à nouveau de déménager, après avoir habité au Québec, en Suisse, puis en Irlande, le revoici en France. Je n'arrête pas de bouger , dit-il, J'avais commencé d'écrire « Meurtre sur le Grandvaux » en Irlande, je l'ai terminé en Provence. C'est que je n'écris pas facilement...Je digère lentement les choses. J'ai besoin de recul. Meutre sur le Grandvaux, c'est une sorte de tragédie antique. L'histoire d'un père, Ambroise, qui tue sa fille et l'amant de sa fille et qui mourra à son tour tragiquement. Il est grandvallier, c'est-à-dire roulier au long cours et transporte sur un chariot des marchandises dans tout le Jura.

« Il y a longtemps que je voulais écrire le roman de la lutte des rouliers contre l'installation du chemin de fer, dit Bernard Clavel. Avant même de publier Le seigneur du fleuve ».

Parlons justement du fleuve. Le Rhône a beaucoup compté dans votre vie.

Oui, c'est au Rhône que je dois d'avoir écrit. J'habitais Vernaison, au sud de Lyon. J'ai commencé à le peindre. Il m'est entré dans la peau. La peinture ne m'a pas semblé suffisante pour l'exprimer dans son prolongement. J'ai donc situé mon tout premier roman sur le Rhône. Ce livre était mauvais, il n'a pas été publié. Hervé Bazin, qui m'avait lu, est venu me voir et m'a dit : « Je crois que vous avez ce fleuve en vous. Mais c'est un trop gros morceau pour un débutant ». Dans L'ouvrier de la nuit, mon premier roman publié, j'ai fait une petite place au Rhône, puis une plus grande dans Pirates du Rhône. Et Bazin m'a dit encore : « Tu ne t'es pas vraiment coltiné avec lui ! Longtemps après , j'ai publié Le Seigneur du fleuve . Et un jour que nous avions une réunion « Chez Drouant », là où se retrouve le jury du Goncourt, Bazin m'a pris à part : « Souviens-toi de ce que je t'avais dit. Maintenant tu l'as. Tu viens de faire un grand livre. Tu fais honneur à la compagnie ! ».

Vous êtes un homme de l'eau ?

Je m'aperçois que, partout où je me suis installé, un cours d'eau imprimait sa marque au paysage, le Doubs à Dôle, le Rhône à Lyon, le Saint-Laurent à Montréal, l'Harricana plus au nord....

Et la mer ?

Je ne la connais pas suffisamment. Je l'ai découverte avec Mac Orlan. Il vivait complètement isolé sur ses vieux jours. Quand j'arrivais, il me demandait : « Sais-tu pourquoi les solitaires ont le nez épaté ? Parce qu'ils se le sont trop écrasé contre la vitre pour voir s'il vient quelqu'un ! » C'était un fabuleux conteur, il me racontait les ports et les marins de Bretagne. Pendant plusieurs années, je lui a proposé de l'y emmener. Mais il refusait de partir à cause de son perroquet, puis de son chat. Nous n'y sommes jamais allés ensemble. Mais j'ai découvert la mer à travers lui.

Vous êtes aussi un homme de la terre ?

Je n'aime que les terres qu'habitées. A Lyon, j'ai vécu des années à la fois les plus heureuses et les plus malheureuses de ma vie. J'étais à Vernaison. Je faisais partie de la société de sauvetage. On intervenait pour les inondations. J'ai connu les mariniers. Avec eux, j'ai descendu le Rhône. Ce fleuve, c'était la puissance. Je n'irais plus maintenant en habiter les bords, parce que ce n'est plus le Rhône. On l'a canalisé. Je ne crois pas que ça serve à grand-chose.

Avec Lyon, maintenant, le cordon est coupé ?

Pas du tout. Quand nous descendons de Paris, Josette (sa femme) et moi, nous nous arrêtons voir nos amis. Nos médecins sont à Lyon, et même le dentiste. La ville massacrée me fait un peu mal. Ce tunnel sous Fourvière est une aberration. La ville est tellement envahie par les autos, on ne peut plus y marcher. On a supprimé le magnifique pont de la Guillotière, et on est maintenant en train d'esquinter l'Opéra.

Lyon est donc votre ville ?

Ma ville, c'est tout de même Lons. Pourtant, Dieu sait que c'est là que j'en ai le plus bavé ! Mais aujourd'hui, pour moi aller à Lons... c'est faire une visite à des tombes, celles de mes parents et de ma tante. « Quand on a plus de copains au cimetière qu'en ville, ça devient inquiétant ». disait Dorgelès. C'est à Lons que j'ai passé mes années les plus enrichissantes, je les ai racontées dans La maison des autres. J'y ai fait l'expérience de la saloperie humaine et de la solidarité ouvrière.

Soixante-dix livres derrière vous, Bernard Clavel ! Vous voilà reconnu, vous n'êtes pas dans le besoin. Qu'est-ce qui vous pousse toujours à écrire ?

La peur de l'ennui. Si je n'écris pas je m'ennuie. J'ennuie ma femme. Ce que j'ai fait, ce n'est rien du tout. Regardez Simenon... J'écris parce que c'est ma nature. Les personnages sont là, ils attendent. Et parfois finissent par se lasser d'attendre. Le livre qu'on n'écrit pas quand il doit s'écrire, on ne l'écrira jamais. J'ai la chance de pratiquer un métier formidable. Vous en connaissez d'autres qui peuvent se permettre de devenir marinier en 1840 ? Ou qui ont la faculté de se transporter au XVIIème siècle dans l'univers de La saison des loups ? c'est le privilège de l'écriture.

Il y a des choses que vous regrettez ?

Bien sûr, comme tout le monde. Mon premier regret, c'est que mes parents soient morts avant que j'aie encore rien fait. Ils sont sûrement partis tous deux en se disant que j'allais crever de faim, que je m'obstinais dans une impasse. Chaque mot est donc encore une victoire pour moi. De toute façon il n'y a pas un de mes personnages que mes parents n'auraient pu connaître. Je ne serais pas capable de mettre en scène un milliardaire.

Vos romans s'achèvent généralement mal. Quel est votre motif d'espoir ?

La chaleur humaine. En même temps, je me dis que ce n'est l'homme qui peut sauver l'homme. On voit très bien que le monde fait tout pour mourir. On n'est pas sortis d'une guerre que tout de suite on se dépêche d'en préparer une autre. « Le monde ne sera sauvé, s'il peut l'être, que par des insoumis.... », écrivait Gide. Malheureusement, les insoumis ne sont pas en assez grand nombre.

Et Dieu ?

Dieu me déçoit en laisse faire tout ça. De plus en plus de gens meurent de faim, et une minorité gaspille de plus en plus de pognon. En vendant des armes, on gagne de plus en plus de fric. Ce constat, n'importe qui peut le faire, croyant ou athée. Dieu ? j'ai vu mourir de la même maladie Casamayor, l'athée, et Cesbron, le croyant. Ils sont partis tous deux aussi lentement et dans la même sérénité, souriants, étonnés, avec la même force, en restant dignes.

L'HOMMAGE A BERNARD CLAVEL D'YVES VIOLLIER

Issu du site "La Vie" dont je mettrai le lien à la fin de ce post.....Hommage que vous trouverez format papier demain ou vendredi au plus tard dans vos kiosques... Je le copie colle afin de le conserver en archives....

Hommage

Bernard Clavel, l’homme qui allait "racines en l’air"
Yves Viollier - publié le 11/10/2010



Un accident vasculaire cérébral l'avait rendu silencieux depuis des années mais les lecteurs de La Vie n'auront pas oublié l'un des écrivains les plus populaires de la fin du siècle dernier : Bernard Clavel est mort le 5 octobre, à l'âge de 87 ans. Il était né dans le Jura, avait grandi dans une famille très modeste, avant de se tourner vers le journalisme puis le roman. Notre collaborateur Yves Viollier, qui fut son ami, lui rend hommage.




« Depuis sept ans, nous étions déjà un peu orphelins de Bernard Clavel. Un accident vasculaire cérébral nous l’avait en partie enlevé. Nous ne croisions plus la massive silhouette du géant boxeur, qu’il fut dans sa jeunesse. Sa voix de râleur généreux contre les bêtises du monde nous manquait. Ses livres surtout. Ses deux derniers romans publiés en 2002 et 2003 ont été « La table du roi » et « Les grands malheurs ». Leurs titres sonnent comme un testament.

Son premier roman en 1956 s’intitulait L’ouvrier de la nuit. Et pendant un demi-siècle, il nous a donné une centaine d’œuvres, des romans surtout, des contes et nouvelles, quelques essais, qui tous plongeaient leurs racines dans une enfance et une jeunesse du côté du Jura, entre Dôle et Lons-le-Saulnier, entre Doubs, Saône et Rhône. Il a quitté le pays de ses origines pour vagabonder partout en France, et en Irlande, en Suisse, au Québec. Mais, à chaque nouveau déménagement, c’était pour constater, citant Francis Carco qu’il aimait, "qu’aussi vite que l’on aille, le pays de nos rêves demeure inaccessible".

Chacun de ses livres – qu’on se rappelle les beaux titres de ses séries Les Colonnes du Ciel ,La grande Patience, s’efforçait de donner à toucher le courage et la peine, la colère et l’amour, la souffrance et la joie, dans le cœur des hommes et des femmes auprès de qui il avait grandi. C’est ainsi que dans Les fruits de l’hiver qui lui valut le Prix Goncourt en 1968, il ressuscite à sa manière ses parents trop vite disparus et cherche à les comprendre. "Mon père aimait sa terre et je ne m’en suis jamais avisé de son vivant."

Il n’est pas étonnant qu’à s’intéresser ainsi à ce qui se passe dans la chair et les âmes des plus humbles il soit devenu l’un des écrivains les plus populaires de la seconde moitié du XXème siècle. Il donnait une voix et une force à ceux qu’on n’entend pas, qui s’identifiaient à ses personnages. Il affinait avec une opiniâtreté d’artisan son outil d’artiste pour les faire entendre. Il était autodidacte. A 14 ans, il avait quitté l’école pour un apprentissage de pâtissier qu’il a merveilleusement raconté dans "La maison des autres". Il détestait les salons parisiens. Il a démissionné du jury Goncourt où il avait été fier de succéder à Jean Giono. Il a été toute sa vie un ardent militant de la paix et des droits de l’homme. Sa Lettre à un képi blanc prenait fermement le parti du pacifisme et du désarmement.

On pouvait craindre qu’après sept ans d’absence la voix de Bernard Clavel ait perdu de sa vigueur. L’écho que tous les médias ont donné à l’annonce de son décès, le 5 octobre, est réconfortant. On peut espérer que, dans les semaines qui viennent, ses grandes œuvres vont retrouver les premières places sur les tables des libraires. Chef de file d’une littérature qu’on peut qualifier de "terroir" au noble sens du terme, il aura été constamment un enraciné déraciné. Il aura repris à sa manière ces deux beaux vers du poète québecois Gilles Vigneault qui était son ami :

« Je suis comme un arbre en voyage
Je m’en vais racines en l’air »

jeudi 7 octobre 2010

Yves Viollier demain soir sur TV le Mans

Yves Viollier est l'invité de la chaine TNT du Mans, Tv Le Mans. Il est invité à une émission spéciale consacrée sur les charniers du Mans.

Les dates et horaires de diffusion sont les suivantes:

- vendredi 8 octobre à 20h et minuit,
- samedi 9 à 13h45,
- dimanche 10 à 11h10, 17h25 et 23h40,
- lundi 11 à 11h20 et 21h45,
- mardi 12 à 14h45,
- mercredi 13 à 10h10,
- vendredi 15 à 13h50.

Si vous habitez Le Mans et ses environs allez sur le site de LMTV :  http://www.lmtv.fr/ Pour aller trouver les fréquences pour recevoir cette chaine. Je tiens néanmoins à remercier les webmasters des  site 
Et celui de Le Mans  Virée de Galerne : http://www.le-mans-viree-de-galerne.com/

Pour les dates et horaires de diffusions... Qu'ils en soient remerciés et félicités pour leurs sites vraiment bien documentés. J'encourage tout le monde à y aller faire un tour.
Pour les autres, comme moi, il y a possibilité d'obtenir un dvd de l'émission... Je vous copie colle le mail que je viens de recevoir de la part de la chaine.

Bonjour,

seules nos émissions quotidiennes et hebdomadaires sont mises en ligne, néanmoins nous pouvons vous faire une copie DVD de l'émission au tarif de 22 euros + frais d'envoi (2,30 euros)

Pour toute copie, merci de nous envoyer vos coordonnées (nom - prénom - adresse - numéro de téléphone) ainsi qu'un chèque du montant correspondant à :
Le Mans Télévision
21 -25 rue pasteur
72100 Le Mans Cedex 2

Cordialement,
-----------------------------------------
Eve-Anne LESAGE
Chargée de production/programmation 
Le Mans Télévision 

mobile : 06 70 67 26 50
fixe : 02 43 83 43 79
mail : eve-anne.lesage@lmtv.fr

Yves Viollier, invité d'honneur

Issu de Sud Ouest ce jour  de Mr Jean Gaury

Yves Viollier sera présent dimanche à l'occasion du Salon du livre.

Surnommé « la plume vendéenne », Yves Viollier sera l'invité d'honneur du premier Salon du livre de Guîtres, dimanche (lire aussi notre édition d'hier). 

Très attaché à ses racines, il est devenu, au fil des années, l'un des écrivains les plus reconnus de sa génération. Tous ses romans racontent la Vendée, ses hommes, ses travaux et ses mystères. 

Yves Viollier est né en 1946 en Vendée. Enseignant dans un premier temps, il est rattrapé par sa passion pour l'écriture. Il devient d'abord critique littéraire pour l'hebdomadaire « La Vie ». 

Au début des années 80, il publie ses premiers romans : « La Mariénnée » (1981), « La Cabane de Satan » (1982), « La Chasse aux loups »… 

Avec l'École de Brive 

C'est grâce à une rencontre avec Jacques Peuchmaurd qu'il publie « Jeanne La Polonaise », chez Robert Laffont en 1987, et qu'il intègre la célèbre École de Brive. Dans les années 90, Yves Viollier est récompensé à plusieurs reprises pour ses romans. 

Il reçoit en 1992 le Prix du livre des écrivains de Vendée pour son livre « Par un si long détour ». Enfin, on lui attribue le Prix Charles-Exbrayat 2001 pour « Les Lilas de mer », dans lequel il décrit l'Aiguillon-sur-Mer, commune chère à son cœur. 

Il dédicacera ses livres sur le salon et sera interviewé à 16 heures. 

L'article : http://www.sudouest.fr/2010/10/07/yves-viollier-invite-d-honneur-205866-2848.php

Note de Sab a Mr Jean Gaury : La prochaine fois on recadre mieux la photo s'il vous plait  et citez bien vos sources, le Conseil Général de Vendée aurait apprécié...

mercredi 6 octobre 2010

YVES VIOLLIER TRES ATTENDU A GUITRES

6 octobre 2010 06h00 | Par Jean Gaury


Un premier salon plein d'ambition

Les membres de l'association Créagraphe travaillent à ce premier Salon du livre photo J. G.

 La culture prend ses quartiers à Guîtres ! Le premier Salon du livre ouvrira ses portes le dimanche 10 octobre à partir de 10 heures et jusqu'à 18 h 30, au gymnase des Gueytines (à côté des terrains de sport). Une première qui a été longuement préparée. Cela fait en effet bientôt un an que toute l'équipe de l'association Créagraphe de Saint-Ciers-d'Abzac travaille pour que cette journée soit la première page d'un événement culturel sans précédent dans le canton. 

« C'est la première fois que notre association crée un tel événement, qui est pour nous d'une grande importance. L'écriture, la lecture, le livre occupent dans notre vie de tous les jours une grande place », souligne la présidente Marie-Claude Roboly qui ajoute : « Nous avons choisi de mettre à l'honneur les écrivains, les illustrateurs, les maisons d'édition, les libraires, tous ceux qui travaillent tout au long de l'année à mettre les livres en valeur pour notre plus grand plaisir. » 

Plus de 40 auteurs 

Ce salon est ambitieux, comme en témoigne le nombre de participants qui seront présents : plus d'une quarantaine d'auteurs illustrateurs dont Yves Viollier, six maisons d'édition (L'Écrit de la Mouche, les Éditions du Greffier, Peyrémonde, de l'Entre-deux-Mers, Le Crébassou, La Fontaine secrète), six librairies.
Ajoutons à cela des expositions- animations de petit matériel viticole de James Bernaud, des photographies de Lilian Marolleau, une braderie de livres de la bibliothèque de Guîtres, la présence d'associations historiques locales (Histoire Archéologie de Libourne, de Coutras, du Groupe de recherche historiques et de sauvetage archéologique du Castillonnais), des ateliers d'enluminure et de calligraphie, de lecture de contes, des saveurs élémentaires autour du vin. 

De quoi attirer un large public, comme le souhaitent les organisateurs.


L'article dans son contexte : ARTICLE SUD OUEST PAR ICI


Note de Sabine à Corinne Pontarlier : Yves Viollier sera votre porte bonheur, j'en suis convaincue.... Tous mes voeux de succès

dimanche 3 octobre 2010

Venue d'Yves Viollier à Guitres le 10.10.10.

Message de Corinne Pontarlier, créatrice de l'évènement sur Facebook que je retranscris ici (tout le monde n'a pas de compte Facebook)


1er salon du livre à GUITRES !!!! LE 10 OCTOBRE 2010 venez nombreux ! Yves Viollier sera parmi nous !!!!

par Corinne Pontallier, vendredi 1 octobre 2010, à 21:00
1er Salon du Livre "Plume d'hier et d'Aujourd'hui"

Le 10/10/2010 : Autre manifestation A partir de 10h00

Pour la première fois dans le canton, l'association Créagraphe organise un salon du livre. L'écriture, la lecture, le livre occupent une grande place dans notre vie de tous les jours. Que ne serait le livre, sans l'écriture ?

Un menu foisonnant est proposé : projection, conférences, expositions de photo, braderies de livres de la bibliothèque de Guîtres, ateliers d'enluminures et caligraphie, lectures de contes, saveurs élémentaires autour du vin, associations historiques locales, maisions d'éditions, coup de coeur de deux libraires, et de nombreux auteurs qui vous dédicaceront leurs ouvrages avec plaisir.


LIEU : GUITRES Gymnase des Gueytines, sortie de Guîtres direction Montguyon 

CONTACTS : Marie-Claude ROBOLY Tél : 09 75 28 42 62

Email : creagraphe@laposte.net


 Gratuit